Alors que Pape Sagna Mbaye offre son premier salaire de député à là radio oxyjeunes, Ahmed Aïdara recadre un auditeur en direct.

nviter de l’émission “dialogue communale”sur la première radio communautaire de l’Afrique de l’ouest , elhadji Ahmed Aïdara, animateur de l’émission (teuss) sur la zik FM n’a pas manqué de dire ses quatre vérités. En effet, tandis qu’on annonce l’offre du premier salaire du député Pape SAGNA Mbaye à la radio oxyjeunes de pikine, comme promis lors de la campagne législative , interpellé par un auditeur sur le manque de climatisation dans les studios de cette radio où il a fait ses débuts, la voix de la  89.7 n’a pas manqué de se défendre. Très en colère ce dernier,a avec précision cité ses différents oeuvres sociales à travers la population,  notamment sa participation dans le développement de sa localité avec sa main mise sur le  pèlerinage à la Mecque de plusieurs personne,  l’octroi d’un financement de 40millions de francs cfa à un groupement, la climatisation de la morgue de fith mith l’éclairage public à fith mith, déploré par le maire. Dans ce sens il déclare que ses priorités pour le développement de la radio Oxyjeunes s’orientent vers l’amélioration des conditions de travail des employés de la radio qui à part l’absence de la restauration ne  perçoivent pas de salaires contrairement aux directeurs de la même structure qui ne souffrent pas de ce mal professionnel.
Toujours sur les antennes de 103.4, là le membre du mouvement “Guédiawaye la Deuk” denonce l’abscence de cimetières dans la ville de Guédiawaye. En effet sa  participation à l’émission “dialogue communale” sur la radio oxyjeunes de pikine a permis a l’animateur de la radio zik.FM de  lancé un appel aux autorités étatiques sur l’absence des cimetieres dans cette zone. Selon lui, le local alloué à ce projet semble être lotissé à d’autre fins. Invité pour s’exprimer sur  les différentes divergences  des mouvements associatifs concernant le désherbage du cimetière de Pikine prévu le 29 prochain, ce dernier a proposé que les autorités administratives s’arrangent à l’avenir autour d’une table sur une journée porte ouverte au cimetière permettant ainsi d’assenir les lieux afin de garantir un climat d’entente et de cohésion entre ces jeunes.

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