edi dernier votre site préféré mettait en ligne un article relatif à la mise à mort programmée du leader du Pastef à partir d’un duplex situé sur la corniche Est et appartenant à un des plus riches ministres du gouvernement actuel.
A peine cet article en ligne,le branle bas de combat en vue d’anticiper sur la radiation qui se voulait secrète s’est déclenché entre Dakar et Nairobi pour mettre les dernières touches au sinistre projet.Car parmi ceux là qui en voulaient à mort à Ousmane Sonko,certains ont vite fait de travailler les oreilles présidentielles pour que le décret soit publié parce qu’on craignait de voir sur la place publique les noms de tous les conspirateurs.
Dakarposte.com alertait de la présence dans ce duplex de certains membres de la commission d’enquête chargée d’entendre Mr Sonko et certains avaient mème essayé de mettre en mauvaise posture un brillant des Impôts et Domaines comme étant celui qui retardait la machine administrative mais finalement le décret prévu pour démettre ce cadre a été rangé sine die.Pourquoi ce revirement de dernière minute?
Le dimanche à quelques heures de la fin son séjour Kényan le président Macky Sall a été informé par les bulletins de renseignements que l’inspecteur des Impôts et leader politique Ousmane Sonko avait déjà avisé les membres de sa famille réunis chez lui à Sacré Cœur de l’imminence de sa révocation de la fonction publique.Mais le meilleur est quand ces bulletins mentionnent le nom de certains ministres et hauts cadres apéristes qui ont pris langue avec Ousmane Sonko qui pour lui renouveler leur amitié ou lui signifier leur solidarité face à cette irrégularité et d’autres pour le prier de ne pas faire dans la délation qui pourrait ruiner sa jeune et si brillante carrière politique.
Les « erreurs » notées sur le décret N° 22016-1239 prouvent la précipitation et le malaise qui ont fini de s’installer au sommet.Car toute la procédure qui a conduit au décret révoquant Ousmane Sonko est viciée et entachée d’irrégularités: absence de motivation de la suspension, incompétence de la personne signataire de la mesure de suspension qui est différente de l’autorité investie de ce pouvoir, frappant de nullité et d’irrégularité ladite mesure de suspension, et plus grave le non-respect des droits de la défense.
Mais, le pire est à venir car, nous tenons de bonnes sources que les « faucons du palais » ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin et l’accusation d’outrage à chef d’état et même il est fait mention de l’article 80 pour placer sous mandat de dépôt au moins pendant 6 mois ce désormais ex fonctionnaire qui a osé bravé le « régime marron ».
A suivre…