Défaite d’Abdoulaye Bathily à la présidence de l’U.A, le ministre des affaires étrangère s’exprime sur le sujet.

La défaite du professeur Abdoulaye Bathily à la tête de la présidence de l’Union Africaine constitue depus plusieurs jours le sujet de conversation de plusieurs sénégalais. Si certains le considère comme une simple défaite, d’autre ne demeurent pas de cette avis. Face à de nombreuses polémiques et contreverses, le ministre des affaires étrangères a organisé une conférence de presse afin d’éclairer la lenterne des sénégalais sur le sujet.
En effet,  face à la presse, le ministre a commencer par réhitérer ses félicitations au président élu d’origine tchadienne. Il a également profitife de cette occasion pour revenir sur la désignation du président en exercice de la CDEAO qui a eté porté sur la personne du président Alpha Condé pour une durée d’un an. Il est revenue sur le thème retenu cette année qui tourne autour de la «dividende démographique »justifier par la jeunesse de la population africaine et devra se fixer l’objet l’objectif de faire de la jeunesse un acteur majeur du développement du continent en leurs facilitant l’accès au marché de l’emploie, a une éducation de qualité. Selon toujours le ministre de tutelle, « beaucoup de questions on été soulever durant ce sommet parmis eux, le retour du Maroc au sein des membres, les relations entre l’Afrique et la cour pénale internationale, le financement de l’Union africaine et la rationalisation des structure etc ». D’après Mankeur Ndiaye le Sénégal défend sa position du refus de la stratégie de retrait de la cour pénale internationale(CPI) et soutient avoir décider d’y rester malgrés les divergences d’opinions de d’autres pays tout en respectant la décision souveraine de certains États a se retirer». Lors du sommet de Kigali de 2016 les chefs d’États et de gouvernement avaient adoptés une décision relative au principe de prélèvement de 0,2% sur les biens importés en dehors du continent pour financer à partir de 2017 à 100% le budget de fonctionnement de l’Union africaine, à 75% son budget programme et 25% destinés à la paix et à la sécurité.l’année 2017 servira de transition pour permettre la galvanisation des réglementations internes des pays. Toujours dans le cadre des différents points soulevés, il y’a eut la rationalisation des structures et des méthodes de travail, la mise en place d’un comité avec d’importants propositions portant sur une meilleure division du travail au sein de la commission,les communautés économiques régionales et les États membres, mais également des décisions sur la transformation d NEPAD en agence de développement de l’U.A vue que le comité d’orientation est présidé par le président Mac y Sall, mais aussi la mise en oeuvre imadiate de la taxe de 0,2 % sur les importations et le renforcement des sanctions contre les pays qui ne payent pas leurs contributions. S’est tenu également en marge de ce 28e sommet, un sommet des mécanismes africain d’évaluation par les pères sous la présidence du président du Kenya, qui a cette occasion a pris connaissance des rapport du Djibouti, du kenya, Sénégal, et Tchad.

L’un des enjeux majeurs du sommet a été l’élection des membres de la commission qui casiment intéresse le plus tout le monde. La conférence devait etre l’occasion d’élirele président et le vice président pour un mandat de 4ans renouvelable et en même temps en termine l’élection pour la même durée des commissaires. Les présidents des états membres ont portés leurs choix sur le candidat chatdien Monsieur Mahamad Moussa Faty actuel ministre des affaires étrangères de son pays d’origine, le Ghanén a éte élu au poste de vice président et devient le responsable de l’administration et des finances de la commission, le poste de commissaire à la  paix et à la sécurité, un des postes les plus importants de la commission a été encore confié à l’embasseur algérien, qui décline la candidature du Nigeria qui c’était présenté au même poste,commissaire aux affaires politiques une bourkinabaise, commissaire aux infrastructures à l’énergie et aux transport une égyptienne, commissaire aux affaires sociales, le Soudan a été élu, commissaire au commerce et à l’industrie , la Zambie l’occupe, commissaire à l’agriculture et à l’économie rurale, l’Angola été mis a l’honneur. Le département des affaires et ressources humaines ainsi que la science et la technologie, devant être conduit par l’Afrique régionale e centrale n’ont pas été conduit faute de présentation de candidats.
Ceci dit le ministre des affaires étrangères a tenu a revenir sur les critères des élections des membre de la commission de l’Union à africaine qui obéissent a des critères d’équilibres régional et de parité. Avec 5 régions dans le continent qui en retour ont droit a deux commissaires donnant ainsi un nombre total de 10 exigeant ainsi un homme e une femme pour chaque région pour mettre en exergue les règles de la parité découlant de la proposition du Sénégal avec le président Abdoulaye Wade. En outre la région dont un ressortissant occupe le poste de président ou de vice président n’aura droit qu’à un seul poste de commissaire tandis que les autre en auront deux. L’Afrique de l’ouest avait présenté 10 candidats pour deux postes dont le poste de président pour le Sénégal ,celui de vice président pour le Ghana et 8 postes de commissaires. Le Nigeria avait pressenté une femme pour le poste de commissaire de la paix et de la sécurité et n’a pas été retenue, le Burkina Faso une femme qui a été élue’ la guinée et la côte d’Ivoire avait présentées chacun deux candidats qui n’ont pas été élus, même sort pour la sierra Léone, le Niger, le Mali, le Togo, qui avaient présentés chacun un candidat ont la même destinée que le Sénégal.
s’agissant de la candidature du professeur Abdoulaye Bathily Mankeur avoir loué les différentes compétences de l’homme affirme qu’il était le plus expérimenté des cinq candidats,ayant été le seul a avoir aider dans les crises importantes comme au Mali ou il a été représenta tant adjoint de l’ONU qui lui voulu le poste d’envoyé spéciale en Afrique attribué par la dite institution. Cette motivation a été initiatrice de la sollicitation du professeur Bathily au président de la république pour le poste de président de la commission de l’Union Africaine. Le ministre des affaires affirme que l’État du Sénégal n’a ménagé aucun effort pour mener a bien sa préparation avec le déploiement de 44 missions pour 44 pays africains sur les 54 qui compose l’Union. Les sels pays n’ont visités ont été ceux des candidats.

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