Le président du Comité national de gestion (Cng) de la lutte, Alioune Sarr, n’en peut plus des attaques des lutteurs dirigées contre sa personne et la structure qu’il dirige. Sur la Rfm, il menace de riposter en faisant des révélations sur certains de ses détracteurs.
Mais auparavant, Alioune Sarr signale qu’il a la conscience tranquille. « Je n’ai pas à répondre aux attaques, car mes activités ne me permettent pas de réagir à des détails. Nous ne sommes pas une fédération mais un démembrement de l’Etat qui nous a confié une mission, rappelle-t-il. Si jamais les autorités nous demandent un jour de partir, nous le ferons sans hésiter, car nous nous ne sommes demandeurs de rien. Je n’ai rien à me reprocher. »
Le président du Cng, qui signale que « certaines personnes de nager dans des eaux troubles », se dit « insensible » à la pression. « C’est facile de dire que untel ou un autre a volé, mais faudrait-il le prouver, peste le patron de la lutte. S’ils ne cessent pas de parler, nous allons déballer dans les médias. Nous connaissons les gens qui quémandent et mendient dans le monde la lutte. »