Avant la visite des installations de sa nouvelle formation Birmingham city, qu’il a rejoindre avant-hier après sa visite médicale de vendredi dernier, Cheikh Ndoye se dit heureux d’avoir changé d’air en quittant le SCO d’Angers. Le colosse de Rufisque, qui en champions hip pour « relever le défis », est revenu sur les nouveaux challenges avec la Tanière.
« J’ai été séduit par le projet de Birmingham et cela a joué sur notre choix. Alors quand ils nous ont contactés, nous avons étudié les possibilités. Toutes les parties ont trouvé leur compte dans les discussions et je suis content d’être là. » Selon le quotidien Stades, le défenseur sénégalais souligne que « Dans la vie, l’homme propose Dieu dispose. J’ai vraiment été séduit par cette marque de confiance et de sympathie des dirigeants d’Angers. Par rapport à cette question, pour moi c’est le tout puissant qui a décidé ainsi que mon contrat soit limité là et si je ne suis pas resté, c’est parce qu’on n’a pas trouvé un terrain d’entente. Ce défenseur estime également qu’il aime bien ANGERS et cette équipe restera toujours gravée dans sa mémoire.
Selon le quotidien Stades, le joueur souligne également que tous, le staff technique, les joueurs et même les supporters lui ont fait confiance. « Le brassard de capitaine qu’on m’avait confié était une parfaite illustration. « Je n’ai jamais pensé que j’allais atterrir à Birmingham mais le plus important en football c’est de rester professionnel. « Les choses se sont passé très vite c’est pourquoi je n’ai pas consulté Aliou Cissé mais on aura l’occasion d’échanger et peut être qu’il me donnera quelques conseils comme il a l’habitude de le faire. »
Cheikh Ndoye n’a pas encore visité les locaux et les installations de l’équipe. « Je resterai dans mon coin pour travailler. « Mon rêve est de jouer un coupe du monde. Le défenseur a profité de cette occasion pour rendre hommage aux victimes du drame. « Le Sénégal ne mérite pas cela. » « Il faut que le groupe soit plus focalisé et à nous de gagner cette double confrontation. » Il soulignera aussi que son âge n’est pas un handicap, car si à 31 ans on fait le travail de celui qui a 25 ans, il n’y a pas de problème. « Les jeunes doivent comprendre et particulièrement que le football est un jeu fait de victoire et de défaite. Je pense que les autorités doivent aussi prendre des mesures préventives pour que de pareilles choses ne se produisent plus.