Mya, pas encore hors de l’auberge

Elle aussi n’oubliera pas le Ramadan 2016, puisqu’ayant vécue des heures de ce béni mois entre les quatre murs du crasseux violon de la Police des Parcelles assainies ; ceci pour avoir voulu partir avec plus de 800 000 de nos très rares francs d’une auberge où elle vivait d’agréables moments, pour 15 000 balles la nuitée. Elle ne doit pas habiter dans un château, même si Mya pensait que « tout est possible ». L’actrice de « Un café avec » fera même du boucan, prétendant qu’on lui avait volé dans les lieux or et argent. Ce qui lui vaut une plainte des accusés pour diffamation. Si donc Mya a retrouvé les siens, grâce à ses relations, elle n’est pas pour autant encore au bout de l’auberge.

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